C´est en catastrophe par un saint de survie
Que fuyante je t´apostrophe telle une belle de nuit
Prise dans tes racines comme des barbelés
D´une nuit assassine je ravive enfin la plaie

Blédi, blédi...

Silence au décollage faussement désinvolte
J´avance dans les rouages d´une marche en révolte

Blédi, blédi...

J´erre dans les turbulence d´un combat acharné
Et de ta lourde présence je me suis détaché

Blédi, blédi...

Dois-je un jour oublier telle une étoile filante?
Dans la nuit achevée ta voix déchirante
Dois-je un jour oublier tel un oiseau de vie
Dans la nuit achevés des chemins du paradis

Blédi, blédi...
Blédi, blédi...