C´est un regard noir qui en dit long
une fugue qui n´a plus l´air d´une chanson
une cigarette pour se faire toujours comprendre,toujours comprendre oui
c´est des mauvaises notes dans un cahier
des yeux,des mensonges trop maquillés
la musique au fond, perdu au fond d´une chambre,au fond d´une chambre tremble
dire j´existe du bout de soi

qui entend nos cris d´amour
aucun grand n´écoutent nos cœurs trop lourd
un soupir,se taire et rougir se sont nos cris
qui entend nos cris d´amour
qui vous rend sans cesse aveugle et sourd
les non-dit, tout les interdits ce sont nos cris

c´est un pourquoi en claquant la porte
des insultes qui vous insupportable
un mur qui se dressent encore dans le silence, dans le silence oui
c´est des larmes sur un oreiller
au fond de nos poches de poings serrés
tellement de messages restés tout en absence, tout en absence d´urgence
dire j´existe du bout de soi

qui entend nos cris d´amour
aucun grand n´écoutent nos cœurs trop lourd
un soupir,se taire et rougir se sont nos cris
qui entend nos cris d´amour
qui vous rend sans cesse aveugle et sourd
les non-dit, tout les interdits ce sont nos cris

dans les S.O.S qu´on vous envoie
y a comme une détresse qui bat
apprenez à les lirent une fois
au lieu de dire on nevse comprend pas
qui les entend nos cris d´amour
ils parlent autant que vos discours
au file du temps, au fond des cours
ils résonnent en vous comme un délit

qui entend nos cris d´amour
aucun grand n´écoutent nos cœurs trop lourd
un soupir,se taire et rougir se sont nos cris
qui entend nos cris d´amour
qui vous rend sans cesse aveugle et sourd
les non-dit, tout les interdits ce sont nos cris
qui entend nos... qui entend nos...qui entend nos...,qui entententend
un soupir,se taire et rougir se sont nos cris